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Buyukd6r6, le 20 aoat 1837.

.Yesp6rais avoir la satisfaction de r6pondre de vive-

voix la lettre int6ressante que votre excellence а

еи la bont6 de m'6crire le 12 a00t, mais cet espoir

пе s'est r6alis6 qu'en partie, с. d. que, si је reste

encore ici роит quelque tems, је те fais pr6c6der par

la meilleure et la plus chbre partie. de moi-m@me, та

femme et mes enfants, qui partent aujourd'hui sur le

bateau vapeur d'Odessa. La crainte de les exposer

ипе navigation chanceuse plus tard et l'augmenta-

tion de la peste aatour de nous те forcent prendre

ее parti; mais еп Dieu qne la s6paration пе

sera pas longue. J'ose recommander та femme vos

bont6s et votre protection, monsieur le comte, quel

que d6solant qu'il soit роит moi de пе pouvoir vous

la pr6senter moi-meme et vous demander роит elle et

aussi aupres de т-те la comtesse Worontzow ипе

partie de cette pr6cieuse et invariable bienveillance

dont vous m'avez toujours honor6. Аи nombre de ses

compagnons de voyage se trouve ип јеипе offcier de

marine fcanpaise le v-te de Chabannes qui а 6t6

aide-de-camp de l'amiral Roussin et qui а pr6f(5r6

la voie d'Odessa celle de Marseille роит retourner

еп France, esp6rant еп outre voir ип реи la Crim6e;

је prends la libert6 de recommander m-r de Chaban-