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Quarantaine d'Odessa, le 10 (22) octobre 1837.

Il те serait impossible d'exprimer votre excellence,

сотте је *les 6prouve, tous les sentiments Де peine et

de profonds regrets que те cause la perspective de

quitter ces lieux sans avoir le bonheur de vous pr6-

senter de vive-voix mes hommages, monsieur le comte,

de vous renouveller l'expression des sentiments d'admi-

ration et de d6vouement чие j'ai appris vous vouer

depuis tant d'ann6es, ainsi que de la double reconnais-

sance que је vous dois, d'abord роис vos bont6s роит

та femme et ensuite pour celles dont j'bprouve ici les

efets de la part de m-r de Levchine et de tout le

monde, sous les auspices de votre influenc.e tut61aire

quoiqu'invisible. Оп m'avait ип moment fait entrevoir

l'espoir flatteux que vous (pensiez faire) ипе courte

apparition ici de Cherson vers le 15, et dans се cas

је n'aurais pas manqu6 de rbgler mes arrangements

de manibre те procurer, пе fut се que роит quel-

ques instants, l'avantage de vous renouveller l'assu-

rance des sentiments dont је suis p6n6tr6 роит celui

qu'en та qualit6 de bon Russe је regarde сотте ипе

des gloires de топ pays, sans crainte d'@tre d6savou6

ni par les contemporains, ni par la post6rit(5. Mais

c0t6 de се tribut d0 l'homme public, је suis fer et

heureux (l'avoir appris consacrer aussi personnelle-

ment des sentiments de dbvouement et de reconnais-