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voulant ofenser (sic) аи lieu d'assi6ger, courant сотте ип 6tourdi

Nice аи lieu de rester sur la Воуа (?),

пе croyant pas

l'arm6e de r6serve, malgr6 les gazettes. franqaises et les avis

de Vienne, enfn laissant 33,000 hommes dans les places поп

approvisionn6es, аи lie•u d'eu amener du moins le tiers de plus

la bataille, ой deux tievs de la cavalerie, qui 6tait Матепдо,

n'ont pas .vu l'ennemi et ой la victoire, que nous avions дадпбе,

nous а 6t6 arrach6e 61/2 heures du -soir par 700 chevaux

franqais. La bataille ипе fois perdue l'armistice de M61as fut

parfaitement justif16- par се qui l'avait pr6c6d6, et l'on пе peut

que s'6tonner de се qu'il lui ait 6t6 accord6; nous le devons

sans doute la joie de Bonaparte de se voir vainqueur артЬ

avoir ordonn6 retraite.

LZariistice que j'ai fait• Parsdorf le 15 juillet 1800 6tait

convenable 1'6tat de d6sorganisation ой j'avais trouy6 bien

plus le quartier g6n6ral que l'arm6e. Је п'у ai d'ailleurs c6d6

l'ennemi que се qu'il avait ои се qu'il pouvait avoir еп vingt

quatre heures sans аисипе possibilit6 de l'en emp&cher, et j'ai

conserv6 les places et leur libre approvisionnement cons6cutif,

се dont m-rs de kray et de Lehrbach пе pas et sur

quoi се dernier s'excusa щёте ainsi que de son armistice de

Hohenlinden, сотте si ипе n6gligence pouvait justifer ипе 15-

chet6 1). Le mar6chal de Lacy, qui dans ses ann6es

n'6tait pas ропт les mesures vigoureuses, condamna l'armistice

de Hohenlinden hau-tement et trouva, que l'empereur paraissant

la t&te de son arm6e, оп pr6f6rer ипе bataille perdue

ипе paix avautageuse. Cependant depuis le 15 de juillet

jusqu'au 20 septembre l'arm6e s'6tait remise, renforc6e et r60r-

ganis6e; l'arriv6 de l'empereur, cet 61an digne de son coeur,

у avait r6pandu autant de bon esprit qu'elle avait sem6 de

1) Pendallt que је n6gociais l'armistice de Parsdorf, la position de Fel(I-

kirclr avait 6t6 tourn6e; les rapports du prince de Reuss du Tirol se croi"rent

avec les ill#tructions qu'on lui envoyait de Vienne; dans les premiers il аппоп-

cait qu'il allait se retirer• derribre l'Inn Innspruck et Baltenberg рат соп-

s6quent abandonner tout le Tirol occidental, et qu'il craignait que le g6n6ral

Hiller пе ftt соирб dans les Grisons et пе ptt plus le joindre. Dan$ les instruc-

tions susdites оп lui reeommandait cette mesure. Ю•ау m'avait autoris6 c6der

Шт, et ses conseils .voulaient que је c6dasse Philippsbourg. Cependant outre les

quatre forteresses et la libert6 de les alimenter је eonservais le Tirol, la moiti6

des Grisons, le poste et d6f16 d'Ehrenberg d6fendant [е Tirol аи nord, еп arribre

de Renti, qui requ6rait 1000 hommes que nous пе pouvions pas у consacrer.

Је те d6mis аи mois d'octobre de la mission que је remplissais auprbs de

l'61ecteur de Bavibre. (npuwbIIaaie кНязя Дитрихштейна).