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ип traitement сотте capitaine des gardes du corps de Louis XVIII;
il est possible qu'ils obtiendront pension. C'est cependallt encore
fort sujet caution.
Р. S. Il у а longtemps que је voulais vous demander, si
vous etes sfn• de votre, Anstett. Оп т'а fait entendre, qu'il 6tait
d6vou6 Р. Aubert etc. et puis 6tait fort li6 avec
Priklonski. Tout cela peut пе pfs vrai, mais n6anmoins il
est bon qne vous le sachiez et que vous tachiez de vous assu-
rer de la v6rit6.
Р. S. Etant a116 voir cette aplts-dfner l'Empereur, qui est
ип реи incommod6, il т'а par16 encore de votre afaire avec
Champagny 1). Il doit avoir теси епсоте de nouveaux d6tails
de је пе sais qui, ni sur cette contestation. Il а voulu
qu'ind6pendamment des instructions que vous recevez aujourd'hui,
ј'еп fs l'objet d'une lettre. Vous la trouverez absolumellt dans
le sens du rescrit, mais bien de vous moi. Son but est que
n'aimant point l'6tiquette, les c6r6monies etc., nous пе voulons
absolument pas nous еп m&ler. J'ii cependant fait sentir l'Em-
pereur, qu'il пе d6pendait pas de lui de changer les usages d'une
cour et que la dignit6 de celle de S011 empire pourrait exiger,
que l'on пе c6dAt pas sur ces Nous avons еп cons6-
quence pr6venu le comte de Morkow sur се qui s'est pass6
Vienne et еп t6moignant notre satisfaction de се que cette af-
faire se soit arrang6e, et еп la rejetant sur le personnel de
m-r Champagny, nous avons fait sentir аи ministere franqais, que
nous d6fendrions nos droits contre tous сеих qui voudraient nous
les disputer et que nos millistres se conformeraient аих instruc-
tions qu'ils ont reques се sujet du temps de feue l'Imp6ratrice.
A'dieu, топ cher comte. Је vous prie de те garder le secret
sur се que је viens de vous marquel*. Dans votre r6ponse la
lettre de l'Empereur parlez de vos 24 ann6es de сат1Јё1•е diplo-
matique, pendant lesquelles il пе vous est jamais arriv6 d'avoir
ипе dispute d'6tiquette etc. etc. 2).
1) О случай; съ Шампаньи см. т. Ш, стр. 404 и слТ,д. Б.
2) Руководствуясь совђтамп Кочубея, графъ Андрей Кирилловичъ съ до-
стоиПС'ГВОМ'Ь оправдывалъ свой обра.зъ въ столкповенћт съ француз-
скимъ посломъ. См. его письмо му государю въ 111 т., стр. 407. Б.