mais оп т'а d6clar6 net qu'il п'еп serait rien, et que је devais

accepter се qu'on m'ofrait, ои rompre. C'est dans се train de vie que

j'ai pass6 huit jours. J'avoue que ј'еп ai assez pour le moment et

que је trouve n6cessaire de songer та justifcation St-P6tersbourg

роит avoir fait l'oppos6 des ordres dont j'6tais muni. је т'у rends

aujourd'hui pour pr6senter, et топ ouvrage, et та t&te pour те punir,

si j'ai mal fait.

L'Autriche est sauv6e, voilh се qui т'а fait conclure. Veuillez еп

faire usage pour те justifer аих уеих du minist&re Britannique. је

crois qu'il serait bon de пе pas donner copie des articles secrets.

Lord Yarmouth les aura ici, et du moins пе dira-t-on pas que nous

avons demand6 qu'on n'obtint pas d'avantage pour le roi des Deux-

Siciles. Се que j'ai sign6 pour lui n'est qu'un acompte, саг се n'est

pas nous qui d6fendons се pays, ni nous qui avons le plus grand

int6r&t се qu'il пе passe pas la France.

је vous remercie bien sinc&rement, Monsieur le comte, pour les

dif6rentes copies que vous m'avez envoy&es et pour les d6tails dans

lesquels vous etes entr6s relativement аи mini.st&re actuel.

Le 8/20 Juillet

1806.

Paris.

232.

ј avais fni mes lettres pour vous, Monsieur le comte, lorsque

lord Yarmouth а pass6 chez moi. Il savait d6jh de la bouche de

М. Talleyrand que j'avais termin&, et apr&s m'avoir r6p6t6 que, сотте

particulier, il approuvait та r&olution, tandis que сотте p16nipo-

tentiaire anglais il la ddsapprouvait, il те demanda si је tenais encore

1'id6e d'a11er moi-m&me St-P6tersbourg pour те justifer. је гё-

pondis que oui, et que је l'avais аппопсб М. de Talleyrand. Il те

pria de renoncer се voyage pour l'assister dans sa n6gociation.

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