matie, Albanie, etc., etc., рои? compenser la reddition de la Sicile et la

s6curit6 de l'Empire Germanique. Ces propositions 6taient trop attrayan-

tes роит пе pas etre pes6es avec attention, et il пе s agissait que

de calculer quel point l'ofre des FranGais pourrait etre d'une solidit6

probable; pour еп pouvoir juger, il 6tait n6cessaire d'avoir quelques

6claircissements ult6rieurs, dont је convins avec mylord Granville dans

ипе conf6rence que j'eus avec Sa Seigneurie; је lui expbdiai, sans perdre

de temps, avec tous ses obiets, М. Longuinof, secr6taire interpr&te

attach6 la mission de Sa Majest6 auprbs de cette Cour, mais аи lieu

d'agir dans се sens, оп 6tait d6jh r6solu Paris de signer ип trait6

d66nitif dont j'envoie copie Votre Excellence. је crois qu'il п'а besoin

d'aucun commentaire. que је l'eus тер, је demandai mylord

Granville ипе confdrence, ой је communiquai les pi&ces que j'avais

repes de Paris, telles que је les joins ci-inclus; је d&clarai еп тёте

temps аи ministre du Roi que tout cela avait 6t6 fait par М. d'Oubril

contre toute espe%ce d'instructions, et que j'esp6rais que cela пе serait

point ratif6 chez nous. Еп efet, Votre Excellence observera qu'il est

presque impossible de trouver ип second exemple d'une chose aussi

honteuse, et qu'h peine trouvera-t-on ип petit gouvernement d'Alle-

тадпе, сараЫе de sacri6er son honneur ип tel point; оп а јидё

n6cessaire de pr6venir le plus t6t possible notre Соит sur cet objet,

et је crois qu'on fait tr&s bien. Demain partira ип second courrier

qui те permettra de vous 6crire plus аи long; еп attendant ie n'entre-

tiens pas le moindre doute que cette pi&ce пе restera pas telle qu'elle est.

Londres.

13/25 Juillet 1806.

Р. S. је n'ai point le temps de vous envoyer la copie des

articles, le courrier 6tant tr&s press6 de partir cause du vent favorable.

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