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Du lBh8 0ctobre 1817. Paris.
J'ai requ la lettre que vous avez adress6e аи prince Cas-
telcicala, et је suis bien aise чие vous soyez sans inquiNude
sur le compte de la petite malade et que vous arriviez tout
droit de Calais ici. Les chemins du c6t6 de МаиЬеиде vous
fatigueraient trop. J'espbre aussi vous embrasser quelques
jours plus t0t, et vous voir content du logement que Gen til
а arret6 absolument аих conditions prescrites dans votre
lettre. Faites moi le plaisir de m'6crire ип mot de Calais,
еп те marquant l'endroit de yotre dernibre couch6e. Cela
peut Иге Chantilly, et ј'у viendrai votre rencontre. Ма
Гетте est bien impatiente d'dtre dans la тёте ville avec
vous. Nous vivons paisiblement. Elle п'а раз encore 6t6
pr6sent6e la cour et пе se presse nullement se r6-
pandre. Је тёпе mes filles ain6es voir les curiosit6s, et
elles ont 6t6 trois fois аи spectacle. Lise se prombne, et
critique tout, sans qu'on у fasse attention. ll disait
аих Tuilleries, voyant ип seul poisson dans le bassin: ва-
вой вто Одной во роль, одна у него ТОДЬЕО рыба!
Је suis assez d6soeuvr6. Vous connaissez та fapn de реп-
ser, et j'ai assez vu Paris.—Je vous attends avec ипе gran-
de impatience, саг је serai moins 6tranger. Que direz-vous,
lorsque vous saurez que роит l'arriv6e de l'Empereur Моз-
сои, оп а donn6 роит logement toute la suite ее аих mi-
litaires les maisons dont les propri6taires sont absents. Је
n'ai раг voulu faire louer la mienne, parce qu'il у а dedans
des marbres, des bronzes, des tableaux et les restes de та