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tal Андреевсвое. Се n'est pas dans Moscou vide de

tous ses habitants que r6side la force de tout l'empire.

Si le Souverain sent sa dignit6, s'il seconde l'esprit

magnanime de la nation dont il а le bonheur d'@tre

le chef, s'il а autant dborreur qu'elle pour toute d6-

pendance d'une puissance 6trangbre, il пе pensera pas

аисипе paix et пе s'occupera expulser l'ennemi

des limites de l'empire les armes la main, et поп

par des trait6s sign6s par Roumantzof et ses pareils.

Је regarde le Corse Moscou сотте ип rat pris

dans ипе souricibre. Donnez-moi, топ bon ami, le

plus de d6tails que vous pourrez sur се qui s'est fait

depuis la r6union des deux arm6es. J'espbre que vous

faites ип journal de la• сатрадпе depuis Loutsk.

132.

Получ. 15 Генв. 1813.

Londres, le (13) IX•bre 1812.

J'ai еи la satisfaction de recevoir avant-hier votre

lettre 31 du 11 VII-bre datbe Је

vois, топ cher Michel, que quand vous m'6criviez de

MojaIsk et de Moscou que votre blessure n'est rien et

que vous seriez gu6ri dans 15 jours, c'6tait роит поив

tranquilliser, votre soeur et moi, puisqu'aprbs 16 jours

peine commencez vous vous servir de b6quilles.

D'aprbs votre premibre lettre је croyais que c'6tait ипе

balle demi-morte qui 6tait peine entr6e dans les

chairs; mais il est visible роит moi pr6sent qu'elle

est entr6e trbs-profond6ment et qu'en la tirant, la

blessure а etre Clargie, се qui retardera la gu6ri-

son. Је vous avoue, топ bon ami, que је пе suis pas

fdch6 de cet 6v6nement, car cela те donne plus de