torts, се n'est point аи c-te Michel qu'on pouvait еп
attribuer, mais bien сеих qui recherchaient ses ре-
tits moyens pour lui faire de la peine et qui пе fai-
saient qne montrer par lb la petitesse de leurs ames.
Le c-te Michel а 6t6 bless6 le plus sensiblement par la
dispersion de son corps d'arm6e. Еп g6n6ral, је pense,
quoique топ opinion пе soit point infaillible, que c'est
ипе fausse mesure autant qu'elle est injuste de soup-
conner des troupes qui n'ont fait que le service qui
leur а 6t6 impos6, et cela avec tout le cr6dit et hon-
neur qu'on puisse d6sirer, si се n'est davantage, de
quelques principes ои habitudes qui пе peuvent соп-
venir la Russie, et sur cette crainte, imaginaire de
le faire disperser sur toute la surf6ce de l'Empire. Се-
pendant le c-te Michel пе pouvait ignorer (car moi
тёте је le lui ai communiqu6 1'ann6e 1815 ои 1816)
qu'il у avait ici beaucoup de personnes еп place, qui,
sur la nouvelle des avantages que le comte Michel
avait procurbs ses troupes et ofliciers par le res-
cript que l'Empereur lui а envoy6 de Berlin, prbten-
daient (ltfil fallait s'occuper chercher ипе ile inha-
bit6e et d6serte роит у recevoir les troupes leur re-
tour de France, vu que le reste de nos arm6es пе
pouvait plus s'accammoder voir leurs camarades
vivre, penser et faire autrement qu'eux, et que l'entre-
tien de ces voyageurs пе pouvait plus se r6gler sur
celui de notre soldat еп g6n6ral. Оп т'а assur6 aus•si
que le mar6chal de Tolly, lorsqn'il 6tait question de
former Гаутбе d'occupation еп France, avait dit
l'Empereur: „Sire! Vous devez penser que vous avez
дадпб ипе bataille et que vous avez perdu 30.0
Је dis tout cela роит faire voir votre ех-
cellence que la personne du comte Michel n'6tait pour