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des r6giments Pr60bragensky et S6m6nowsky, aprbs

avoir plac6 dans le premier son aide-de-camp Pirch

сотте colonel commandant et demand6 се Schwartz

роит [е, r6giment S6m6nowsky, l'Empereur lui а dit

plusieurs reprises que cela пе pouvait pas avoir de

bonnes suites. Il а insist6, dit-on, еп disant qu'il 6tait

absolument impossible de faire quelque chose de bon

moins que d'avoir ип ofrcier pareil, c'est dire parfai-

tement d6pendant, par son inf6riorit6, de s. а. i. Ses

voeux ont 6t,6 exauc6s. Оп а f6it de belles choses. Le

soldat, пе pouvant pas vivre de sa mis6rable pitance,

est 0blig6 de gagner par son travail de. l'argent роит

enrichir les артелщ • et еп 6t6 il дадпе ici beaucoup,

la main d'oeuvre 6tant ип prix 6norme. Schwartz

п'а donn6 que deux jours pour les siens; тёте dans les

canicules il les faisait exercer et, outre l'exercice рат

bataillons et compagnies, il еп fhisait venir chez lui рат

12 hommes sans culottes et pieds nus, роит d'autant

mieux juger de [а flexibilit6 de leurs pieds et de la

pr6cision de leurs pas, et il se couchait par terre роит еп

mieux mesurer et aligner les pointes des pieds, тоуеп-

nant son брбе ои ипе baguette de fusil, еп distribuant

les coups sans mis6ricorde. Dans ses fureurs il leur

donnait des coups de poing sous le menton, arrachait

la moustache, faisait ouvrir la bouche et ordonnait

toute la compagnie еп passant d'y cracher. De та vie

је n'ai entendu des horreurs de се genre. Dimanche,

le 17 octobre, il donne ordre la premibre compagnie

d'exercer, et lundi le r6giment devait relever la garde.

La compagnie refuse, еп disant que leurs forces пе

sufrsaient plus роит l'exercice, que l'Empereur avait

donn6 le dimanche pour rel6che, et qu'il leur serait

impossible Де prendre quelque repos aprbs роит rele-