senti que sa position 6tait trop роит ses 6paules, et il
у avait rencontr6 des d6sagr6ments trop humiliants. ll
а aussi pr6sent6 sa supplique. Rien n'est encore d6cid6;
mais је sais de bonne part que le Maitre avait dit plus
qu•une fois que s'il demandait de s'en aller, que lui il
пе le retiendrait pas. Је crois qu'il veut se m6nager
quelque avantage, tel que de rester аи Conseil et
Se;nat etc. Sa femme, qui а plus de sens et de сага.
otbre que lui, veut absolument qu'il quitte.
Је dois vous dire que les deux Imp6ratrices se sont
conduites d'une manibre admirable dans tous ces der.
niers moments humiliants et surtout que la grande-
duchesse Catherine s'est distingu6e (Типе manibre qui
а 6tonn6 tous сеих qui ont le bonheur de l'approcher,
donnant dans tous les cas les 6vidences d'une gran-
deur d'jrne, d'un sens solide. Cette princesse дадпе beau-
соир d6 cela que jusqu'ici son sort n'est pas d6termin6.
Elle aime avec passion l'6tude des bons livres, elle еп
profte, sa t6te s•ouvre. Elle voit t,out, elle еп est navr6e.
Le malhenr est: il а personne gni а quelque in-
flnence directe, et actuellement il lui а 6t6 inculqu6 par
son nouvel ami *) de prendre les afaires entre ses рто-
pres mains. Il est gouvern6 рат ses engouements, et
actuellement il est ivre de В., сотте il а 6t6 pendant
quelqnes ann6es de roi de Prusse. Се dernier parait
pass6. Mais оп vient те demander votre paquet.
Т.-е. Наполеономъ. П. Б.