commerciaux des deux nations avec la plus grande

facilit6. Le c-te N. Tolstoi lui dit que l'Empereur пе

voulait qu'il confbre avec personne qu'avec lui, .qu'il

le verra avec plaisir toujours dans son cabiaet, quand

il demanderait, et qu'il devait se garder bien de mettre

de la confance оп de s'ouvrir avec telles et telles per-

sonnes, nommant quelques-unes. Mylord а 6t6 аих

anges, et il а agi еп cons6quence. Quand quelques ап-

ciens amis de la liaisnn, сотте c-te kotchoubey, m-r

Nowossiltzow, le duc de S. С. et plusieurs autres ont

tach6 d6licatement l'orienter et le mettre dans le vrai

chemin, leurs id6es ont rencontr6 ипе r6ception froide.

П est rest6 boutonnd tout le monde. La cons6quence

а 6t6 qu'on l'a laiss6 lui-m6me. Qaand il venait chez

le Ma.ftre, celui-ci, connaissant son penchant, l'a mis

sur le sujet des r6giments de cavalerie et les d6tails

у attenants, dont il se. trouvait trbs-heureux et trbs-

honor6 de pouvoir disserter Sa Majest6 sur la meil-

leure manibre de seller ип cheval, de couper la cri-

etc. etc. Pourtant, pendant tout се tems, il avait

si реи de la confance de l'Empereur qu'il пе savait

rien de son d6part quelques heures avant que

Sa Majest6 est a116 l'6glise de Casan. Quelques indi-

vidus les plus respectables de la nation m'ont dit qu'il

les а presque reprimand6, quand ils ont tach6 de lui

donner des notions qu'ils croyaient 6tre justes. Tout

ceci т'а donn6 beaucoup de la peine, parce que је

prenais int6r6t еп lui par rapport de son excellent

pbre, qui т'а montr6 beaucoup d'amiti6 quand il 6tait

ici et qui 6tait ип vrai chevalier antique. Il est vrai

que је пе croyais pas la chose 6tre bonne, car j'avais

trouv6, quand је fus bdimbourg, qu'il у 6tait d6test6

par cause de son orgueil et son p6dantigme militaire.

La тёте chose marque fortement ici. Wylli6 m'envoye