а prodigu6 partout deF pensions des Viry etc. etc.
etc., cela serait ипе ldchet6 de пе pas trouver quelque
chose convenable faire pour се digne homme.
Веаисоир des gens de bien et de sens ici souhai-
tent qu'un tel homme pourrait 6tre employ6 ici, саг
il est роит le moins d6jb demi-national et par son
long s6jour et par son union avec ипе des anciennes
familles duns le pays *). ll а [а facult6 de promnlguer
des grandes v6rit6s sans offenser, avec ипе 610quence
qui n'est pas celle des 6coles, qui vient de coeur et
qui va аи соеит et la tete.
J'ai averti Michel. de cette occasion d'6crire qui est
peut-6tre la senle bonne qui пе se pr6sentera de long-
tems.
Vous verrez dans le pamphlet de Fabre qu'il ren-
voye tous les succbs des Frangais leur grand •nombre,
leur brigandage op•ga.0lisi, auquel il faut att,ribner leur
l6girete' et leur '0dJocitd, la parfa.ite.conubinaison de plu-
siaws .qrands plans qui vont ensemble, et la rdquj-
•siiion des chefs de toute couleur, depuis le соттепсе
ment de la r6volution. gagner des et du ter-
rein, ои d'aller la potenca et ainsi se procurer tous
les r6sultats d'un fort vouloir et contre ееих qui n'ont
ni vouloir, ni combinaison.
Un de mes amis qui а lu tout le manuscript т'а
dit qu'il est tr&s regretter que tout l'ouvrage пе peut
рав etre imprim6. Vous verrez avec plaisir се qu'il
dit de Souworow, et .son apostrophe nous vers la Вп
est excellent.
* ) Герцбгъ Ceppa•kaupio.ra, НеаполитанскМ посолъ, бы.ть жевать па
доче)и Екатериниискаго грнерала•иров.урО, «иажн± Вяземской. Ш В.