mieux qu'Il п'а fait сеих de la nation chantante, qui

depuis реи est devenue excessivement raisonnante. Раг

suite de l'enchainement de nos id6es, les enfants fu-

turs (.lu comte Michel m•ont fait songet' la promesse.

que ,j'ai faite Кип des enfants pr6sents de mylord

Pembroke et nomm6ment l'incomparable princesse

de Normandie, que је те rappelle d'avoir ип jour sur-

pris seule sur son trdne. Quoique cette princesse, aussi

vive qu'aimable. m'ait t.ou,jours trait6 avec beaucoup

de rigueur, дтйсо l'extrdme, roideur de principes de

m-rs j•ai n6anmoins fort il coeur d'ex6cuter

strictement la commission qu'elle т'а donn6e. Il s•agit

de quelques plantes ои semences de се pays, је пе те

souviens plus bien lequel. Ayez la bont(5, monsieur le

comte, de nfapprendre аи juste се qu'il faut que ј'еп-

voie lady Elisabeth. Се sera ипе bien bonne осса-

sion de m'instruire si c•est ип fls ои ипе flle чие la-

dy Pembroke aura donn6 .son noble et excellent

броих. J'avoue que је crains ипе nouvelle gaucherie

de sa part. Mes amis de Londres m•ont appris que la

sant6 de la comtesse douaribre de Pembroke 6tait de-

venue trbs-prbcaire. J'ai appris еп тёте temps рат la

voie des gazettes que lord IIerbert. еп perdant ип рто-

cbs, дадпе ипе femme dont il пе veut plus. Voili des

chagrins bien r6els аи milieu des rejouissances пир-

tiales. bien la vie humaine: la joie ni le chagrin

пе sont ,jamais sans m61ange. Је partage ploinement

vos esp6rances, monsieur lo comte, relativement. аих

sentiments patriotiques de votro flls, qu'aucun rapport

de, pe.rent6 пе pourra 6branler; је vois тёте, plus loin:

је pr6tend que dans tr('es-peu tems sa femme de-

viendra ип modblo роит les ,jeunos mat,ronos russes.

Је n'ai rencontc6 la comtesse Michel Woronzow qu•i