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S-t P6tersbourg, le (25 septembre) 7 octobre 1825.
C'6tait ипе bien agr6able surprise роит то), monsi-
eur le comte, que les lignes que vous avez еи la
bont,6 de joindre la lettre de mylord Pembroke, de
Bright.on, que .j'ai reyue il у а trois jours. Mais cette
surprise fut aussit(3t suivie des sentiments de la plus
vive reconnaissance que la lec.ture de ces lignes de-
vait exciter еп moi. car elles те transmettaient ип
t,61noignage laconique, mais (l'autant. plus flateur «le la
bonne opinion et de la bienveillance, dont elle e.onti-
пие de m'honorer. Је vous supplie, monsieur le c.omte.
d'en agr(er mes remercfments profond(5ment sentis
et que parmi les unonwnts les plus
heureux de та vie је cornpto сеих oil _j'ai еи le bon-
heur de .jouir de votre et de vos bont6s. Et.
l'heure qu'il est* que је, те vois fixe5 (lans топ pays
роит ип tems indt;t.ermine;, ип de mes plns ardents
ddsirs est de revoir encore ипе fois l'Angleterre.
D'apre%s les dernkn•es lettres que топ ami Boulga-
kow а еи du comte Michel, il devait entreprendre son
voyage роит l'6tra.nger inun6diatement apr&s sa visite
'l'ag•anrok ой l'Empereur l'avait appel6. Sa sant6
s'amdliorait visiblement, et t,out fait esp6rer qu'il va
incessamment rompre a.vec la maladie et les m6dec.ins.
Longuinow, qui se trouve Тадат•оК, т'а fait part
dans les tems que votre excollence а (5t6 6tonnbe de
топ entr6e аи Sbnat,. Је concois cet 6tonnement. et
c,'est роит cela тёпив que. c.rois devoir entrer (lans
quelques explic.ations. Еп premier lieu, је dirai que је