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toiblesse, et п'у trouve que Pencouragement des entreprises

8ans cesse renoissantes de l'utile et du couvenable, qui

la base de ses principes. UEmpereur croit que le plus

grand Prince pour l'histoire, сотте pour вев contemporains,

sera toujours celui qui aura le plus accru воп territoire.

Le danger pour la s0ret6 g6n6rale, qui suit се funeste

вувЬе, exigera toujours de la France l'attentiou la plus

active, et l'opposition la plus ferme.

Le Roi doit et peut se regarder сотте le tuteur

Princes foibles. Cette politique а fait depuis plusieurs sibcles

За grandeur, la 80ret6 et la gloire de la Couronne. Dang

les tems ой оп Га abandonn6e, les vues de quelques in-

t6rets momentan68 ont seu18 6cart6 de се principe, et c'6tait

пп sacrifce tr&.dangereux, que Гоп faisoit вер int6-

r6t8. La puissance du Roi est la seule digue capable de

8'opposer аих torrens de l'ambition, et d'en pr6veuir

les ravages. Се systbme, qui aB80re l'innuence de la Мо.

narchie franpise sur toutes les afaires de PEurope est de.

venu 6galement pour Elle ип droit et ип devoir.

Yajouterai que la mod6ration dont 1е Roi а donn6

des preuves, qui lui ont acquis la сопбапсе et la v6n6ration

de l'Europe, а doub16 cet antique droit d'6lever Sa voix

avec succbs еп faveur de la conservation de l'int6grit6 des

оп est bien fort, bien •respectable, contre Гат•

bition exag6r6e, quand оп пе veut que le maintien de Рот-

dre public, et lorsqu'on пе pr6sente ва force que pour le

r6tablir et le conserver.

Le zble d'un serviteur du Roi пе Buroit craindre

s'6garer, еп disant Sa Majest6 que les regards de Puni-

vers sont tourn6s dans се moment sur sa conduite, que

la c.onsid6ration de воп regne d6pend de la r6solution ferme

qu'Elle arr6tera, du langage noble qu'Elle tiendra

l'Europe, et du parti nerveux qu'Elle prendra pour pr6-

la Hollande des desseins et des mesures de l'Em•

pereur. Il пе peut рад se dissimuler que les uns et les