ent directement at(aqu6s рат се Trait6, cependant il пе

presente pas assez d'avantages роит que Sa Majest6 puis-

se ni еп desirer la conclusion, ni s'engager le faire agr6•

er аи Roi de Prusse, pas тёте еп consentaut emploier

ses bous 0fEces anprbs de се Monarque. Оп pense que tout

се que pourroit faire le Roi seroit de promettre de пе рад

dbtourner Sa Majest6 Prussienne d'acceder се Trait6.

Оп pense aussi, qu'en liant cette n6gociation avec

celle de l'accommodement de l'Empereur aves la Hollande,

il seroit craindre que cet arrangement пе tirAt trop еп

longueur; ainsi il seroit fort desirer qu'il ftt possible

d'amener Majest6 Imperiale recevoir les reparationg

de la R6publique de Hollande et de convenir tout de suito

aprbs d'une suspension d'armes Гип delai sufsant pour

terminer la u6gociation de la HollandB avant d'entamer

celle de l'6change propos6.

Оп termiuera ces observations еп supliant le Roi de

trouver bon que Гоп insiste sur la n6cessit6 de пе rien

arr6ter avec l'Empereur, еп се qui concerne l'6change pro-

ро", que се пе soit de concert avec le Roi de Prusse ап-

quel il paroit que Sa Majest6 Imp6riale seroit dispos6e

inspirer de la d6fance contre les intentions du Roi, quoi-

qu'en plusieurs circonstances Sa Majest6 ait prouv6 РЕИ-

rope le desir qu'Elle а d'y entretenir ипе paix g6n6rale

sans аисипе чие d'ambition personnelle.

10.

M6moire de Castries sur l'6change des Pays-Bas contN la

Bavibre. 2 janvier 1785.

Quoique l'6change de la plus grande partie des Pais•

Вад et de la Bavibre пе dQt regarder daus l'ordre des

transactions ordinaires que l'Empereur et la Maison Pala-