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volont6 роит -l'aider, et le comte Starhemberg пе cesse d'employer

son nle, son activit6 et son intelligence, que је пе suis nulle-

ment еп doute qu'il n'obtienne les secours les plus effcaces. Је

пе suis)•_ nullement еп peine pour la r6ussite de cette afaire.

Роит се qui est de Gallo, personne п'а 6t6 surpris de се

qu'il а accept6 la commission d6shonorante qu'on lui а donn6e.

Il п'а jamais еи l'5me 61ev6e du prince Castelcicala; d'ailleurs

il а toujours 6t6 li6 avec les ministres prussiens; il а 6t6 1'ami

intime de Jacobi; il l'est aussi de Lucchesini et il п'а jamais

fait autre chose que de trdmper sa cour, еп lui conseillant de

faire la paix avec la France, еп l'assurant, que. l'Autriche la

ferait l'insu de Naples.

Оп а rien 6crit de NapleS Circello sur cette mission de

Gallo B51e, et par cons6quent се n'est que par Vienne qu'on

pourra savoir l'issue de cette hoNeuse afaire. Је vous supplie,

m-r le comte, de те .faire part, quand vous aurez, соттб је

п'еп doute nullement, des nouvelles.

Оп а appris ici hier l'agr6able nouvelle de la conqu&te de

l'ile de Ste Lucie sur les Franqais et de celles de Berbice аих

Indes 0ccidentales et de Colombo dans le Ceylon sur les Hol-

landais. Le parlement est de nouveau prorog6 аи 16

Est-il vrai que nos troupes vont й, garnisonner (sic) la

Galicie?

Рпчьмондъ, 8Д9 1796.

Је n'ai rien de nouveau vous marquer, m-r le comte,

sinoi que par les nouvelles que j'ai eues пе notre

charg6 de pouvoirs de Madrid l'Espagne se rapproche de plus

еп plus de la France, que des courriers пе cessent d'aller entre

Madtid et Paris et qu'il est presque certain, qu'une alliance va

se former entre S. М. Catholique et сеих qui ont extermin6

cette religion et qui ont massacr6 le chef de la famille de sa

dite Majest6.

Malgr6 que le gouvernement britannique manque d'argent

et qu'il пе peut garantir l'emprunt imp6rial, notre ami le comte

Starhemberg par des talents et ипе activit6, qui lui sont par-

ticuliers, fait des miracles, et il obtient des secours aussi secrets

qu'effcaces.

M-r Jackson, que vous avez vu Vienne, est поттб ambas-

sadeur й, Constantinople.

Је vous 6cris celle-ci par ип courrier napolitain. Је vous