plus cruel de se sentir mourir par pi&ces et par morceaux, аи moral

et аи physique. Jugez que de sentiments sont d6jh morts роит moi.

је compare cette situation ип arbre qui perd successivement ses

branches d6ss6ch6es et qui se ,pr6pare пе vous ofrir bient6t qu'une

perche d6poui116e.

Mais се qui те dbsole et те tourmente le plus, c'est de пе pas

avoir ри fermer les уеих се cher homme et jouir du bonheur de

le voir, lui, cctte Ате vertueuse, quitter се tas de boue et d'ordure

sur lequel et аи milieu duquel nous tournons сотте des girouettes,

avec le courage et la fermetb dignes de lui, et qui пе doivent etre

6trangers qu'aux ames viles et basses. 0ui, је suis bien fiich6 d'avoir

manqu6 се devoir sacr&, mais Dieu, qui lit dans les ccrurs des

hommes, sait bien les motifs qui m'ont emp&ch6 de le remplir, et il

jugera s'il у а еи de та faute.

Adieu, cher ami, portez - vous bien. Mes respects Мте la сот-

tesse; је пе lui ecris point par m6naoement; је suis тёте fAch6 de

vous еп avoir dit autant, mais que voulez- vous, ј'еп avais bcsoin.

Се Ddcembre

18rr.

Vienne.

178