лордъ ггвивль.

sir6e. ll s'6tendit beaucoup sur l'int016rabIe ambition de la

France, avoua qu'il est n6cessaire que toutes les puissances

lui fassent ипе guerre соттипе, пе cacha рад. le d6Bir qu'il

а de voir l'Angleterre у prendre ипе part active, mais avona

que pour la faire bien et d'une manibre tRs-d6cisive, il faut

dans се pays-ci que le sentiment de la natbn f0t Ыеп vi"-

blement unanime pour cette guerre, айп que le ministbre,

bien loin d'@tre contrari6, f0t puissamment second6 par elle,

et c'est quoi оп travaille; que depuis реи monsieur Chau-

velin п'а cess6 de le bombarder d'6criture роит demander

les Franqais sont compris dans l'acte relatif аих 6trangers,

poor se plaindre des vaisseaux arret6s, qui portaient des

grains еп France; enfn роит lui d6clarer que la France го-

garde le trait6 de commerce entre les deux pays сотте

ри, et qu'A toutes сев 6critures il пе lui а donn6 аисипе Гб-

ропве, qu'enfn dans quelques jours la chose doit 6tre d6f-

nitivement d6cfd6e, quoi il pourra lui remettre им r6-

ponse d6cisive sur le concert prendre avec la France; две

pour ее qui est de la communication particulibre et сопа-

dentielle qu'il lui а faite аи sujet de l'6change de la Bavibre

et de l'Nemnit6 que la Prusse veut prendre sar la Pologne,

c'est ип article nouveau, ои presque nouveau роит lBi, et

qu'il est d'une natnre si d61icate qu'il se eroiL oblig6 de le

remercier de lui еп avoir parl6 dans la Гоппе

qn'il l'a fait et de lui avoir 6vit6 ипе discussion minist6-

rielle qui generait Ьеаисоир cette cour; qu'il lui paraft que

la sltuation pr6caire de la possession des Pays-Bas est efeoti-

vement on6reuse la maison d'Autriche, si сев раув ru-

taient sur le тёте pied qu'ils 6taient avant l'entr6e deg

Franeais; que quand le temps viendra, оп pourra preMire

arrangements ld dessus, qui pourront satisfeire les int6r6b

des deux cours; mais qu'il lui avoue franchement que l'indem-

nit6 que la Prusse veut prendre sur la Ро1одпе, est si iB-

juste, qne jamais l'Angleterre пе pourra consentir, encore

moins у donner la main. Que dira la паИоп anglaise, a»uta-

t-il, contre ип ministbre qui coop6rerait вм paroille in-