iaiB ри choquer пп amour-propre, паве qn'il ве croit trb-
habiie militaire. Је pouvais lui dire que tous les d6barque-
—nts faits еп France pendant la guerre de 1756 ont
јоин manqu6 et qu'il doit le savoir ayant lui-m6me dans
deux exp6ditions pareilles; que tout corps de troupes, quelque
B0breux qu'il f0t, sera sacrif6 inutilement, quand оп le met
i016, вапз аисип• uppui de forteresse, confn6 аи de la
•r et пе pouvant avancer dang le centre du pays, qui peot
etre d6vast6 exprbs par l'ennemi ponr lni 6ter tMlte gubsis-
taBce; que la pr6tendue diversiml пе serait qu'avantageuse
[а FranE car sans employer des troupes, maiB еп dbtruiunt
les vivres et les fourrages, elle saura empecher les ручгЬв
d'une итбе qui, d6barquant sur la c0te, у resbra шоЊп-
du вапд pouvoir avancer, faute de subsistances; чи lieu que
du e0t6 de l'Alsace, des trois 6v6ch6s et de la Flandre fran-
qaise, les dif6rentes arm6es, faisant lessi6ges des forteresses
et еп les prenant, peuvent avagcer, ayant des appuis et des
d6pOts pour leurs magasins.
Londres, le 5 F6vrier 1793.
L6 courrier Lwof т'а apport6 tous vos paquets, pour les-
pels је vous remercie, топ cher ami, ainsi чае pur la
Ы1е botte de јавре herborisb de Sib6rie чие т'атез
envoy6e; elle ем mmlt6e avec beaucoup de 90', et la piere
est gi singulibre qu'elle fait l'admiration de tous сеих qui
је la montre. Је sais bien sensW й ое souvenir, ainsi дие
рои toutM les informa'ions ре vous m'avez donn6es.
Vous dites que si l'air de la сатрадве пе voos
tablit рн, vous irez l'ann6e proehaine Spa ои Aix-la-
()hapelle. Јо viendrai certainement vous voir et vons pr6sen-
tm тев enfants; mais Bi уоив пе quittez рад ia Russie, је
viendrai chez vous avec .та petite famiile li ой vous serez,