justioe, qai ferait pyer la Pologne les violences de la
France; que certainement 1ев puisgances qui portent les frais
de cette guerre doivent 6tre indemnis6es, mais indemnis6es
ап d6pens de la France, qui les а forc6es ces d6penses;
qu'il lui avoue tussi franchement la position de l'Angleterre
relativement la Pologne; que monsieur Helles et le cabi-
Nt britannique n'ont раз 6t6 du secret de la constitution du
З de Mai; que d'icl оп п'а еи висипе part ni l'6tablisse-
ment de cette constitution, ni son renversement; qu'on а
requ seolement dans leur temps les deux noti6cations от-
cielles de la r6publique, auxquelles оп а rbpondu par les
formalit6s d'usage, mais que de faire consentir 1'Angleterre
ип lnjuste d6membrement d'un раув qui пе s'est рад du
m6l6 des troubles que la France а suscit6s toute l'Eu-
rope, c'est се qu'aneun ministbre n'osera entreprendre iei
sans vouloir de gaiet6 de coeur la haine et le ressentiment
de la nation entibre. C'est ainsi• que fnit cette conversation
Mitre le secr6taire d'6tat et le comte Stadion.
Le jour d'aprbs, monsieur Jacobi ft la тёте comnmnica-
tion mylord Grenville •et eut fort реи de виссЬд quant
l'indemnit6 sur Та Pologne; c'est аи moins се qu'il а dit аи
comte Stadion.
Deux jours aprbs, 6tant all6 chez monsieur Jacobi, се n'est
qu'alorg qu'il те communiqua verbalement еп abr6g6 les
ordres qu'il а requs, et lui ayant demand6: comment mylord
Grenville а requ la communication sur l'indemnit6 que la
Prusse vent prendre sur la Pologne? il те r6pondit:
prise tfbs-mal, mal аи possible, пе parla que de l'injustiee de
се projet et qu'aucun ministbre anglais пе pourrait se m61er
d'one chose qui indignerait toute la nation anglaise. Monsieur
Jacobi те dit еп тёте temps qu'il est fAch6 d'avoir 6t6
dans le cas de faire cette communication, parce qu'il еп avait
ргбуи l'issue par tout се qu'il evait 0bserv6 avant cette
afaire. Је lui demandai s'il еп avait par16 autre fois•, il те
r6pndit que oui; et виг l'6tonnement que је lui еп t6moi-
ДМ, il tacha de те persuadw que bien avant се temps et