влизость РАПНВА аигли •пациво.

nellement vis-i-vfs des sc616rats qu'il а pobliPMnt trait6s

de factieux dans la note qu'il pr6senta ici avec le comte

Stadion аи sujet de la famille royale еп France, il r6solut

de faire la communication й mylord Grenville аи sujet de

la pr6tendue m6diation sur laquelle il devait ве concerter

avec lui. Mylord Grenville lui marqua combien il 6tait mch6

de се qui 6tait arriv6 Naples, parla avec v6h6mence соп-

tre les violences franqaises et lui dit qu'il пе peut

lui donner de r6ponse et le priait de lui faire la сотти-

nication par 6crit. П lui 6t entendre qu'il d6sire et ев-

pbre de lui donner ипе tout autre r6ponse et qui sera cer-

tainement plus satisfaisante; il lui ft entendre assez claire-

ment que le gou#ernement i6sire la guerre, mais qu'il faut

amener la nation la voir aussi n6cesnire qu'il la voit.

Depuls се temps le prlnce Castelcicala, le comte Bdion et

monsieur Jacobi ont 6t6 plusieors fois chez le gecr6taire d'6-

tat pour lui demander ипе r6ponse, et il п'а ри la leur don-

пег. Еп g6n6ral оп est persuad6 que le roi, mylord Gren-

ville, le duc de Richmond et mylord Hawkesbury veulent la

guerre et l'auraient d6jA соттепсбе; mais monsieur Pitt craint,

qnoiqu'h tort, de пе рад avoir la majorit6 de la nation роит

cette mesure, et qu'il d6sire quelque provocation de la part

de la France, et il paraft qne c'est pour cela qne, voyant que

monsieur Le Brun пе communiqua рав й la Convention Natio-

nale la r6ponse que mylord Grenville Et monsieur Chau-

velin le 31 D6cembre et qui aurait ри emHammer la vanit6

de cette assemb16e, оп se d6cida аи bout de 15 jours de la

publier ici еп anglais dans deux papiers minist6riels, ва-

chant que cela sera traduit dans le Courrier de Londres,

сотте cela est arriv6, et parviendra еп France. Une des

choses quf ont aussi inHu6 sur le retard de la rupture jus-

qn'i pr6sent, est qu'il у а plusieurs vaisseaux qui revien-

nent da Levant, estim6s de la valeur de prbs d'un demi mil-

lion de livres Bterling et qui, passant раг la WiterraB6e.

sont, роит ainsi dire, entre 1ев mains de l'escadre franqafse,

comand6e par monsiar Tngnet et La Touohe.