ДВВ ЗОВВПТВ АПГЛЕО.
de quitter, et је те natte qne le repos: la libert6 et ltair de
la сатрадпе vous r6tabliront.
J'ai sign6 hier deux conventions avec mylord Grnvllle:
l'une pour le commeroe. J'ai erit се sujet иве let're
l'Imp6ratrice раг .le canal du comte Ј'еп ai еп-
voy6 la copie m-r Marcof, еп le priant de vous l'ennyer.
Је пе reviens pas, еп v6rit6, des pr006d6s qu'on а еив еп-
vers vous. Cela est incroyable. Је sais trbfaeh6 de ое чиа
voas n'avE рав ро vendre votre maison de Фонтам».
Mylord Grenville ayant communiqu6 qui regarde la
merce la Compagnie de Russie, c'6tait ипе joie incroyable
la bourse, et j'ai геев ипе foule de lettres de f61ieitations
de remercfments. le gouverneur et principaux de
cette compagnie viendront те remercier еп forme. mi-
niBtbre, qui sait combien cela est agr6able la nation, а fait
mettre dans la gazette de la cour d'aujourd'hui, qu'hier а 6t6
sign6e ипе. conyention de commerce роит six ans entre la
Russie et l'Angleterre. ordinaire est de пе publier оев
nouvelles qu'aprbs la rati6cation. Si mylord Grenville avait
6t6 la р1асе du duc de Leeds, nous 6t6 depuis
longtems Ыеп ensemble.
146.
Londres, le 8 (19) Avril 1793.
Monsieur Forsman est venu ici de Lisbonne еп courrier et
va P6tersbourg avec la nouvelle que l'auguste r6#lique
des Garat et Marat, qui а surpass6 toutes les «е
l'histoire de la d6pravation humaine а jamais ри rass—hiar
enEmble, avait envoy6 ип ministre еп Portugal, mais que
cette соит а refns6 de le rEevoir. Се fait m6riLait
peut-etre l'envN d'un courrier; mais је crois qae notra
Bistre Lisbonne а voulu favoriser monsieur Fer—i, qui