СВИДАНIВ СЪ ГРАФОМЪ МАРКОВЫМЪ.
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d'elle, dont il пе parlera jamais ауес personne; mais il у а
bien des anecdotes assez inter6ssantes qu'il raconte trbs-
agr6ablement. Је regrette de пе pouvoir рад rester plus
longtemps dans cette ville, ой il у а tant de personnes que
j'aime; mais топ voyage, qui а 6t6 lent par l'6tat mis6rable
dB chemins dans cette saison et раг la courte dur.6e du so-
leil sur l'horizon, ainsi чие le s6jour prolong6 que j'ai fait
Berlin, m'obligent enfn de пе plus m'arreter davantange,
абп d'arriver топ poste.
54.
мне, З (15) D6cembre 1802.
Је suis arriv6 ici hier pour dfner, et le comte Markow est
venu те joindre sur le soir. Nous passames la soir6e et
toote la journ6e d'aujourd'hui ensemble. Il vient de те quit-
ter dans се moment, qui est minuit pass6, et сотте nous
devons partir demain 8 heures du matin, је m'empresse de
vous 6crire роит profter du courrier qu'il veut exp6dier de-
main d'ici avant que de retourner й Paris. Il т'а montr6
tout се qu'il а requ de chez nous tant oficiellement, que
vos lettres particulibres. Је vous remercie, топ bon ami,
sur се que vous lui avez 6crit de те communiquer се qu'il
rewit de chez nous; aussi il т'а laiss6 les copies des pibces
les plus int6ressantes. Је vois avec plaisir le ton de digni-
t6 et de cons6quence de се qui sort de notre cabinet, suc-
ebder la marche incons6quente et versatile ainsi qu'au ton
ЬптЫе et trop complaisant qui caract6risaient nos 6crits dans
tous nos rapports avec la France. Il est trbs-politique, ainsi
qa'il est d6cent тёте, de пе plus etre les suivants de Вопа-
parte; aussi le comte Markow еп est bien satisfait.
Nous faisons tous deux des voeux, et tout bon Russe se
joindra поив sur се point, pour que vons пе vous d6g00-