НВУдовохьствш съ шввцивй.
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а 6t6 franqaise, c'est dire trbs-peu propre le rendre utile
аи service de sa patrie.
J'apprends que под messieurs font des d6penses extrava-
gantes Paris. Cet imb6cile de D6midof s'est fait faire пп
Mvice de porcelaine, dont chaque assiette соме 16 louis d'or.
П faudra tout le g6nie sublime et la profondeur des соп-
naissances, avec 1е jugement exquis, de notre ministre du сот-
merce, pour soutenir notre cours de change pour реи чие des
Digauds сотте D6midof restent Paris ипе couple d'ann6es.
во.
Londres, 1е б Мау п. в. 1803.
Је пе pdis croire encore que Bonaparte risque ипе guerre
ой il п'а rien gagner et tout perdre; сат il п'а аисип
тоуеп de rendre l'Angleterre le та] qu'elle lui fera еп
bouchant de nouveau tous les ports de France, qui vont sen-
tir de rechef tous les effets de la misbre, еп lui enlevant de
nouveau ses colonies et еп d6truisant le rebte de за marine.
C'est pourquoi је pense qu'il пе laissera pas partir Whitworth
et le rappellera du chemin, pour terminer le dif6rend l'a-
miable. ll serait vraiment singulier si cette querelle s'ac-
commode, tandis que celle entre nous et la Subde se termine
par ипе. guerre, d'autant plus que la condescendance est toute
de notre c0t6 et l'impertinence de celui de la Subde, qui ра-
rait agir avec ипе injustice et ипе insolence inverse la рто-
portion de ses forces et moyens compar6s аих n0tres.
Је d6sire que nos difbrends avec се petit Gustave Adolphe
puissent s'arranger l'amiable; car, quoique cette guerre пе
peut etre dangereuse pour nous, се sera toujours ипе perte
d'homtnes, et c'est се qu'on doit perdre le moins possible
dans ип pays aussi реи peup16 que le n6tre. J'ai toujours
0bserv6 que nous perdons plus de monde .par les maladies
чие par le Геи de l'ennemi, dans ипе proportion de 6 аи moins