мвжду ФРАНЦIЕИ И АНГИВИ.
pers6cutions et vexations de се genre, que cet imb6cile пе
cesse de те faire; car si је perds la patience, је lui 6crirai
ипе lettre ой је lui ferai ипе bonne leqon et qu'il n'osera
pas montrer l'Empereur: car la raison пе sera pas de son
c0t6. Jamais поид n'avons течи des ordres, sous le masque
de recommandation, d'aucun d6partement int6rieur; c'est lui
qui l'a introduit depuis qu'il est devenu ипе fraction du d6-
partement qu'avait le grand Colbert еп France.
Је vous remercie pour l'avancement de Nazarewskoy et
de Longuinow, et pour Ја croix de l'aumonier: car је suis
persuad6 que c'est й votre consid6ration que le m6tropolite
У а song6.
62.
Londres, 6 (18) мау 1803.
Rien de plus sage et de mieux уи que d'avoir етрёсћб
de prendre des mesures. pr6cipit6es sur les afaires entre се
pays ее la France la seule r6quisition de Bonaparte, et tan-
dis que l'Empereur 6tait pr6venu par је пе sais qui que l'An-
gleterre avait tort. Се point дадпё, le plan que vons avez
compos6 et que Sa М. 1. agr6a, de l'olTre de ses bons ofices
6claircir les pr6tentions r6ciproques et lever la тбПапсе
entre l'Angleterre et la France, le mode et le ton de ces
propositions чие le comte Markow et moi ont 6t6 charg6s de
faire, sont pleins de dignit6, d'impartialit6: сац• оп пе pr6juge
pas sur 1е sujet du dif6rend, оп veut l'6carter, et cela de Ia
la plus апЦса1е. Аисип des deux gouvernements пе
peut s'en ofenser, mais doit recevoir nos ofres avec recon-
naissance, et si c'est trop tard pour еп profiter, оп doit аи
moins nous savoir gr6 de nos intentions amicales. Certaine-
ment се n'est pas се чие Bonaparte se flattait d'obtenir par
ses intrigues, r6unies avec celles de la Prusse; mais рои-
vait-il croire s6rieusement, apr&s се qu'il а vu du ton de