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Yitt fnira ainsi, l'embarras du ministbre ои plut0t du pre-
mier ministre пе fnira pas de sit0t; car ces recherches sur
plusieurs d6partemens l'obligent, сотте chef de l'admini-
stration et сотте celui qui dirige efectivement le tout,
veiller continuellement tous ces examens, 6tant еп тёте
tems оссирб pourvoir l'exp6dition et l'arrangement de
tout се qui regarde la guerre prbsente; aussi il п'а pas ип
moment й lui.
Је suis entr6 dans ces d6tails, Sire, роит expliquer les
causes pour lesquelles оп а tant tard6 r6pondre аих сот-
munications que j'ai faites la suite des ordres de V. И.
I-le, et que depuis j'ai retard6 moi-meme, ayant vu la Т-
cheuse impression que ces communications ont produite ici,
esp6rant du ЬёпёНсе du tems et qu'on pourrait trouver quel-
qu'exp6dient, quelque mezzo-termine, pour пе pas rompre ип
accord si salntaire роит le bonheur de l'Europe. Је pr6f6-
rais avoir ипе r6ponse plus tardive, que de l'avoir contraire
аих d6sirs de V. М. l-le.
Ayant commdniqu6 m-r Pitt et lord Mulgrave еп-
semble le rescript de V. М. 1-le du З Avril, је les ai trou-
v6s сотте frapp6s d'un соир de tonnerre, particulibrement
m-r Pitt. Је пе l'ai jamais vu si ассаЫ6 de douleur; саг,
quoiqu'il f0t d6jA pr6venu par lord G. L. Gower du contenu
du trait6 provisoire qu'il allait signer P6tersbourg, il пе
pouvait croire que У. М. I-le fdt ainsi d6cid6e n'admettre
аисипе modifcation l'article de Maltbe, сетте il l'a vu
раг le rescript que је lui ai donn6 lire. Aprbs s'@tre re-
mis, il те dit que се qu'on demande du roi est ипе chose
qui пе d6pend pas de sa т. ni d'aucun de ses ministres, vu
que le Parlement et la nation пе le souffriraient pas; qu'il
voyait avec douleur qu'il faut regarder cette afaire
сотте manqu6e et renoncer ип accord si cher et si pr6-
cienx, qui faisait l'objet de ses voeux, puisque la r6solution
de V. М. de soutenir се qu'elle а propos6 роит Malthe,P est
irr6vocable; que се qu'il dit n'6tait que d'aprbs son opinion
individuelle, et que је recevrais la r6ponse oficielle apres