ГРАИ ростопчинъ.

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dans ппе serre-chaude, et si la paix пе se fait pas dans

deux ans, је vous enverrai еп attendant топ fls.

46.

Richmond, le 14 (25) Janvier 1799.

D'aprbs votre lettrp, j'ai d6jA adregs6 й monsieur Pestel les

paquets avec les brochures que је vons ai envoy6es раг le

conrrier qne j'ai exp6di6 il у а trois jours. Је пе cesse de

recommander votre ami, monsieur Ryndin, monsieur Ros-

topchin. Је vous avoue que је пе suis рад content de се

dernier, саг peine est-il entr6 dans le ministbre que sa

d6sunion avec le prince et son neveu а соттепсб, ее се

n'est рад d'eux чие је l'ai appris, mais рат Rostopchin lui-

тёте, qui, croyant que је l'apprendrai et pour se disculper,

т'еп а touch6 quelque chose. Је lui ai r6pondu еп vrai ami,

еп lui disant que је suis aussi 6tonn6 qu'afHig6 de cette

nouvelle; que је пе crois pas que les autres ayent tort et

que quand се]а serait тёте, је crois qu'en fait d'amiti6 celui-

lh est le meilleur ami qui sait supporter l'humeur et les

pr6tentions de ses amis; qu'il а de grandes obligations аи

prince; que је suis persuad6 чие son coeur п'а аисипе part

cotte m6sintelligence, mais que o'est la trop grande ardeur

de воп esprit qui еп est la cause; qne le public пе le connaft

pas aussi bien que је le connais, et сотте се public sait

qn'il а de grandes obligations аи prince, је serais bien fach6

qu'il le mtt dans la cath6gorie des Marcow; qu'il doit se

souvenir combien il 6tait indign6 de la conduite de се der-

nier, et qu'ainsi оп пе doit pas riSquer d'6tre јидб par le

public, de тёте que l'a 6t6 1'autre.

Qu'il le prenne bien ои та], j'ai fait le devoir d'un ami;

је l'aime certainement ев је lui dois тёте beaucoup, et c'est

pour cela тёте que j'ai cru devoir lui repr6senter се qu'au

milieu de ses Hatteurs personne n'osera lui dire. J'ai du le