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В. П. ЕОЧУВВЙ.

Vous те dites qu'A sa derni&re entrevue avec vous, iI

vous а par16 de son digne neveu, сотте ип homme qui соп-

naissait tout son m6rite; је п'еп suis pas surpris: il 6tait

homme й savoir distinguer le m6rite des autres. C'est dom-

таде ее pour sa propre memoire et pour l'6tat ой il а lais-

вё се neveu, qu'il п'а ри rien faire pour lui les derniers

jours de за vie et que le пот de Вивторъ Павдовичъ пе

se trouve рав dans son testament. De l'immense fortune qu'il

а laiss6e son frbre, il aurait ри laisser son vertueux пе-

veu аи moins la dixi&me partie. La justice тёте exigeait

qu'il le Пе, car Викторъ Павдовичъ s'est sacri66 роит lui

de toute faqon, et il aurait 6t6 plus heureux еп restant еп

Turquie, ой il aurait 6tb plus tranquille et aurait requ les

r6compenses qu'a eues monsieur 'l'amara pour avoir achevb

се que notre ami avait prepar6 par sa prudence.

68.

Londres, le 4 (15) Juillet 1799.

Plus поиз savons des d6tails de la victoire signalbe du

mar6chal Souworow contre Macdonald, et plus ses grands ta-

lents militaires paraissent еп 6vidence. C'est la bataiIle la

plus signa16e de cette guerre. Savez vous que је пе sais чие

faire avec Michel, qui d6jA depuis quelque temps est toujours

aflig6 de n'6tre plus dans le militaire ее dont l'afection s'est

accr0e depuis que поз troupes опе соттепсб й agir еп Ita-

lie; mais cette gloire qu'elles viennent d'acqu6rir par cette

bataille п'а fait que renouveler sa douleur. Il pleure, il дап-

glote, et cela те dbsespbre; се pauvre enfant те fait piti6,

ее је souffre еп le voyant sourrir.