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avec laquelle il dilapidait les ressources de l'6tat; que се

pr6jug6 que le dit papier tachait d'inculquer аи public et

la Chambre des Communes quand les subsides seront discut6s

par celle-ci, occasionnerait des murmures contre

1а m€moire de m-r Pitt, qui п'а agi dans cette afaire, поп

faite роит btre expliqu6e et discut6e аи Parlement, qu'en

vrai homme d'6tat, роит des consid6rations majeures pr6sent6es

par та соит, parce que quand le roi de Suue а demand6

сед subsides disproportionnbs sa demande fut rejet€e ici;

que та cour m'ordonna de tAc.her d'engager le

britannique satisfaire la demande su6doise; que j'ai еи

sur се sujet ипе longue conversation avec rn-r Pitt tete

tetc, dans laquelle је l'ai press6 de consentir cette afaire,

mais qu'il т'а r6pondu moins que је пе lui prouve que

tout soldat su6dois est ип Samson ои ип Hercule, et que par

consCquent il combattra mieux et doit avoir ипе plus grande

portion de vivres, il пе pourrait jamais consentir ип sub-

side si extraordinaire, et quoique la somme n'6tait pas

grande, il 6tait injuste de donner plus de subsides pour ип

soldat su6dois que pour ип soldat russe et autrichien; qu'outre

cela оп serait peut-etre dans le сад de subsidier la Prusse,

la Hesse et la Saxe, qui, prenant се qu'on donnerait аи roi

de SMe роит exemple, exigeraient la тёте proportion; et

qu'ainsi il n'6tait plus question de traiter sur со sujet. Је

continuai еп disant que quelque tems арти оп m'6crivit de

P6tersbourg sur cette тёте afaire еп d6veloppant les raisons

pour lesquelles оп insistait sur се que la Grande-Bretagne

пе romptt pas sa n6gociation avec la cour de Stockholm,

mais qu'au contraire il 6tait de la plus grande n6cessit6 de

la conclure la satisfaction de la SuUe. Ces raisons 6taient

que l'Empereur donnait 180 т. hommes l'Autriche; qu'il

avait 20 т. hommes dans les fles Ioniennes, prets соорё-

тет avec les troupes anglaises dans le Midi de l'Italie; et