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диб entraver les op6rations des forces alli6es; si enfin
les troupes anglaises ethanovriennes avaient
d6barqu6 tems, et qu'en g6n6ral 1 е gouverne-
ment britannique eot fait ип usage plus actif
son аттёе du l'instant il п'у avait plus
de descente craindre: il est certain que ces
puissantes diversions n'auraient pas permis
Bonaparte de concentrer toutes ses forces, de
les diriger contre nous; et les choses еп auraient
prlS ипе tout autre tournure».
Nous avons longtems r6H6chi et discut6 sur се sujet, et
nous avons 6t6 pleinement convaincus qu'il 6tait impos-
sible de faire la communication de се paragraphe, ой il у а
lcs deux passages que nous avons soulign6s, sans amener
ипе discussion ой nous aurions еи tout le d6savantage еп
compromettant notre . cour, qui se trouverait avoir tort еп-
vers le gouvernement britannique.
L'assertion que l'Empereur п'а pris d'engagement que
d'agir avec la cour de Vienne seule пе peut pas etre sou-
tenue: 10, notre trait6 d'alliance а 6t6 direc:ement соп.
tract6 avec la Grande-Bretagne, auquel la cour de Vienne а
acc6d6 apr&•, 20,. par l'article У [ du trait6 il est dit пот-
m6ment се qui suit* «Leurs majestes conviennent que dans le
сав qu'une ligue soit form6e telle qu'il а 6t6 sp6cif6 dans
l'article 1, elles пе feront la paix avec la France que du
consentement соттип de toutes les puissances qui seront
parties dans la dite ligue; et de тёте que les puissances
continentales пе rappelleront point leurs forces avant la
paix, de тёте sa majestF, britannique s'engage continuer
le payement des subsides pendant toute la dur6e de la
guerre».
Quant l'autre assertion, сотте si l'Angleterre avait
manqu6 de faire des diversions, elle n'est pas juste, топ-