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Le 12 septembre 1799. Yarmouth.
Је suis infinimont sensible tout се que voUs avez la
bontb de те dire dans votrc dernibre lettre, qui m'honore.
Croyez, топ adorable bienfaiteur, que la seule raison d'ob6ir
vos ordres sufit pour те faire dbployer toutes mes facultbs еп
faveur de l'expbdition qui т'а t;te; confi6e. Si j'ajoute encore la
cause qui т'епдаде de si prbs d6sirer та commis-
sion, votre excellence пе doutera point que si је пе r6ussis
point, се n'est sans doute point faute d'elTort, mais раг incapa-
cit6 ои impossibilit6. Mes voeux qui succbderont сеих de
voir la fin du d6barquement, seront сеих de топ arriv6e
Londres, pour vous prouver par топ extase combien mes
senthnens sont pleins d'admiration et de reconnaissange pour
vos bienfaits; combien топ coeur est p6n6tr6 de respect, de
v6n6ration et d'attachement pour vous, et combien j'ai еп
horreur tous сеих qui ont rbussi, рат leur barbarie extreme,
6veiller еп moi toute la r6pugnance et l'aversion possible pour
cette partie de la terre que les monstres habitenL Flatt6 de
pouvoir quitter Yarmouth еп реи de tems et d'y revenir аи
plus t0t роит vous aller rendre mes hommages, је suis, etc.