17.
Le 6 (18) novembre 1800. Cronstadt.
J'ai еи le bonheur de recevoir votre lettre du 8 (20) oct.
аи moment j'allais vous bcrire роит la premibre fois aprbs
les couches de та femme, et cela huit semaines aprbs les
coucbes. J'allais solliciter votre consentement Иге le parrain
de та fllle, lorsque је trouve que vos soins paternels те
pr6viennent, et que vous m'accordez ddji la grace qui servira
honorer toute та post6rit6, si ј'еп ai ипе. Vous devez 0tre
surpris que је пе vous 6cris que deux mois арг& la naissance
de votre petite-fille; mais c'est que sa тдге retomba malade
quelques jours aprbs les couches, assez heureuses, et elle le
fut toujours depuis jusqu'i се moment, elle n'est pas encore
r6tablie, mais qu'elle те laisse аи moins entrevoir
l'esp6rance qu'elle le sera dans quelques semaines. Pendant
tout le tems de sa maladie j'6tais constamment еп correspon-
dance avec Rogerson, et ses conseils nous ont suivis dans tout
le cours de la maladie; c'est encore ип vos bienfaits, que
l'amiti6 que nous а t6moign6e cet habile et honn6te homme.
П у а quinze jours que nous reomes la lettre de notre chbre
soeur katinka, avec l'addition de quelques-unes de vos lignes.
Је vous assure que ses douleurs et та peine furent suspendues
par le tems que nous avons employ6 jouir des nouvelles
agr6ables de votre sant6 et de votre nouvelle manibre de
vivre.
Vous m'avez d6jh accord6 la grice d'6tre le parrain de та
61le Ad61aIde, псе le 12 (24) septembre; mais nous d6sirons
aussi que •notre chbre soeur katinka soit la marraine, avec