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Londres, се ll septembre 1806.
Nous sortons de l'6glise, ой nous avons c6l6br6 la
f@t.e de l'Empereur, et сотте le c-te Michel et moi
nous allons nous mettre еп chemin pour aller dans la
Cit6 et courir jusqu'& се qu'il fasse obscur, је n'ai que
le tems de vous t6moigner та reconnaissance pour les
lettres de m-r de Tatistchev, et de t&cher de vous
tranquilliser аи sujet du cher et bon Michel. П а fait
„се matin de lui-m@me се que vous lui recommandez,
mais il l'a fait роит se soigner еп chemin, ой naturel-
lement il pourra s'6chaufer, et поп parce qu'il пе se
sent pas bien-portant. Еп v6rit6, се n'est plut6t que
trop de sant6, сотте dit le chev-r Farquhar, que trop
реи.
M-r Fox 6tait encore vivant 1 heure du matin,
quoiqu'en dise m-lle Jardine.
L'impression que le cher Michel а lais6e Sout-
hampton est bien naturelle. Elle sera tout aussi forte ici,
је puis vous assurer. Је suis bien persuad6 que vous
пе douterez pas du soin que је mettrai dans tout се qui
d6pendra de moi pour faciliter son d6part.