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Londres, се 19 septembre 1806.

Jamais .qronderie пе т'а fait plus de bien que celle

contenue dans la lettre dont vous avez bien •vonlu

m•honorer hier, et је т'у conformerai avec toute la

sensibilit6 dont је пе puis пе рад etre p6n6tr6 рат

votre bont6, monsieur le comte.

L'audience donn6e рат lord Spencer et ипе entrevue

que m'avaii demand6e lord Howick аи sujet de notre

escadre m'ont emp6ch6 de vous remercier de votre

longue lettre qui 6tait ассотрадпбе d'une incluse роит

le c-te Rubassom6 avec la lettre de change. ms que

m-r Mitau m'aura apport6 l'argent, ј'еп remettrai 50

аи comte, et le reste је le donnerai Genty, puis-

qu'enfn је пе. puis avoir le bonheur de vous le porter

moi-m@me. Је n'ai jamais еи l'id6e d'ouvrir cette lettre

du c-te Lieven; mais d'aprbs се que vons те marquez,

m-r le comte, је те suis trouv6 dans ипе telle fbvre

par la possibilit6 qu'un autre semestre ait 6t6 accord6

аи c-te М., que је n'ai ри m'empacher de briser le

cachet, et vous verrez que се пе sont qne des rassu-

rances, mais qui пе peuvent que vous tranquilliser.

Cette lettre m'est revenue aujourd'hui de Harwich,

топ paquet п'у ayant plus trouv6 le c-te М. Le vent

а 6t6 trbs-bon pour lui depuis avant-hier. Је doute que

personne ait regard6 аих girouettes plus souvent que

moi depuis сев З jours.

Le petit 6chantillon que j'ai еи hier те fait d6sirer

ardemment que lord Spencer nous reste; mais cela n'est

gubres clair encore. Еп sortant hier de son bureau,