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Londres, се vendredi 3'/s h. (12 сент. 1806).

Le bon c-te Michel vient de quitter та porte dans

се moment. Sa chaise avec '2 cofres 6tait trop lourde

роит deux chevaux, et pendant qu'on lui еп mettait

deux autres chez Jacobs. qui demeure C(5t6 de moi,

il est venu attendre dans та maison. M-r Mitau et moi

nous sommes les derniers qui l'avons embrys6. Il а

еп tout plein de monde се matin, qui l'ont arrdt6 beau-

соир. М-те Moberly, Fanny et Sophie, ainsi чие le r6v6-

rend, ont 6t6 les derniers qui l'ont vu Harley-street.

Le gouvernement profitera de ses ()fres, et се soir

nous lui enverrons le tout Harwich, otl toutes les

attentions possibles lui seront t6moign6es.

Il vient d'arriver ипе malle de Hambourg. •Le seul

article int6ressant dans la gazette est dat6 de la fron-

tibre polonaise, du 24 аойЬ ой il est dit que l'on у

attend le grand-duc Constantin et qu'on observe des

mouvements parmi les troupes russes.

M-r Рох а 6t6 hier, аи grand 6tonnement de tout

le monde, si bien qu'il а march6 dans la chambre

cdt6 de celle il couche. Aujourd'hui il est de пои-

veau plus faible.

Је vous supplie, m-r le comte, de croire l'int6r6t

le plus vif чие је prends l'aflicition qui doit r6gner

chez vous dans се moment. S'il n'est pas naturel que

је dise que је sens cette occasion aussi vivement

qu'un pbre ои ип frbre, аи moinsje dirai avec v6rit6 que

le c-te Michel п'а pas d'ami qui puisse sentir son ab-

sence plus vivement que moi, qui le regarderai jusqu'h

та mort сотте l'ami le plus vrai et le plus pr6cieux

que ј'ауе аи monde.