се qu'elle а apport6: ипе lettre роит vous, ипе autre

du c-te М. moi et ипе troisibme de m-r Fontany,

qui пе laissera pas que de vous faire plaisir. Vous

verrez qu'il est reparti sous les meilleurs auspices, bien

approvisionn6 et avec ип beau ciel.

Mais је sens, monsieur le comte, qu'il faut que је

vous laisse entibrement la joie d'6couter votre fls.

Vous те permettrez sans doute de remercier еп votre

пот et m-r Сох et m-r Fontany.

Р. S. vous m•exeuserez, m-r le comte, si

аи milieu de toutes c.es bonnes nouvelles j'ai oubli6 de

vous remercier de la longue lettre que vous avez еи

la bont6 de m'6crire et que j'ai recue hier. Је vous sup-

plie de те. faire la grace d'exprimer lord et lady Ро-

wis mes regrets les plus vifs de се que је пе puis

avoir le bonheuc de jouir de leur hospitalitb Walcot-

house. Mais il n'est pas impossibl.e que vous у voyiez

le c-te Stroganov: c'est ипе id6e qui lui est venue

aujourd'hui pendant qu'il e;tait chez moi et aprt>s qu'il

eat lu votre lettre, que је lui ai communiqu6e. Il т'а

pri6 cependant de пе vous еп parler encore que сот-

те d'une idde qui n'est pas тйте. Il compte partir

роит la Russie vendredi еп huit; et s'il va vous trou-

ver, il пе veut aller d'abord que Ludlow, n'ayant

pas le courage d'aller tout droit chez lord Powis. Quant

moi, m-r le comte, c'est ипе confdence que је vous

fais et laquelle j'ai cru пе devoir pas manquer.