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Londres, се 16 octobre 1806.
J'ai vu се matin mylord Howich, qui т'а lu ипе
d6pdche de m-r Stuart du 19 septembre п. s. qui ve-
nait d'entrer. Il marque чие la соит de Berlin .avait
demand6 chez nous qu'un corps de troupes marchit
tout de suite sur la Sll6sie, et que l'on uvait r6pondu
chez nous que l'on n'agirait qu'aprbs qu'on , et1t еха-
min6 les plans d'opbrations que m-r de krusemark
devait apporter. Еп attendant, nous avons donn6 as-
surance que toutes les troupes еп Pologne 6taient еп
6tat de marcher dans 24 h. M-r Stuart aenvoy6 aussi
des traductions du manifeste de l'Empereur et de la
r6ponse du S6nat, avec ип imprim6_ russe du premier.
Је le demandai l-d Howich, comptant vous l'envoyer,
et depnis que је sui8 rentr6 chez moi, j'ai trouv6 tou-
tes les deux pibces, qui m'ont 6t6 envoy6es du Collbge.
Је les joins ici, еп vous priant de vouloir bien те
renvoyer la r6ponse du S6nat, dont је n'ai pas de
duplicata.
Mylord Howich т'а dit que le baron Jacobi n•est
pas autoris6 c6der sur le point principal. Il faut donc
voir si lord Morpeth l'obtiendra. Il est sar que dans
le cas contraire il reviendra. J'ai 6t6 voir le baron
Jacobi, 6tant naturellement curieux de savoir le lan-
даде qu'il tiendrait. Il est tout guerrier et т'а parl6
d'une longue lettre tris-rerte que son roi avait 6crite
Bonaparte et qui devait d6cider l'afiire. Quant аи
Hanovre, ils ont imagin6 ипе d6claration аи пот dn
roi tout-h-fait leur manibre: que sa nnjesti пе croyait
nullentent avoir des titres роит la posgession