pas cette ambassade-ci et que les afaires avec la coor
de Vienne recommengaient devenir plus importantes,
il ве pourrait bien qu'on у laissat се dernier.
П parait que le marquis parle exprbs de son d6part,
parce que [es ministres пе lui еп parlent pas. C'est се
que j'ai entendu aujourd'hui. Il est lui-m@me sans
doute tout pr@t, quoique pas tout gu6ri, mais il пе lui
manque que le dern•ier ordre de partir. Је • crois que
c'est реи prbs l'6tat actuel de la chose, et рат соп-
s6quent il у а. encore des esp6rances.
Је reviens dans се moment de chez lord Howich,
auquel j'ai fait communication de l'6xp6dition arriv6e
hier. Il еп а 6t6 parfaitement content, et les disposi-
tions qu'ils manifestent ici, tant pour nous soutenir
dans nos justes droits que роит faire des sacrifces
pour le bien de l'Europe, sont telles que le tout s'ar-
rangerait bient6t s'il п'у avait plus de Haugwitz ni de
Prince de la Paix.
Vous recevrez cette lettre, m-r le comte, аи то-
.ment de votre d6part; је profte par cons6quent de
cette dernibre occasion роит те recommander encore
аих bont6s de toute la maison de Walcat.
Lord Howich nous donne aujourd'hui son premier
dfner, et је pars dans се moment pour у conduire le
commodore Ignatiev.