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Londros, се l3 octobre 1806.
Un secr6taire de m-r Adair, arriv6 ici avant-hier
soir, а apport6 la confrmation de notre r6conciliation
avec la Porte, qui n'aura plus le courage de changer
d'avis ипе autre fois lorsque l'amiral Louis se sera
montr6. M-r Burrell, qui est ,la personne еп question,
а pass6 par la Pologne. Il s'est arr6t6 le 19 pass6 аи
quartier-g6n6ral du g6n6ral Benningsen, qui 6tait
Pultusk, pas loin de Varsovie, avec 60 т. hommes.
Son avant-garde de '7(Ш hommes, dont 20) Prussiens,
6tait Praga et Varsovie, et la premibre approche
des Franeais toute l'avant—garde devait se concentrer
Praga, aprbs avoir d6truit le pont. Le c-te Воих-
hoevden 6tait d$ Grodno. ll у avait З corps fran-
eais de НИ.) *) h. chacun ои а реи pRs, dont l'un,
sous Davoust, se portait Bielsk, ип autre sous Lan-
nes sur Thorn, et le З-те sur Da.ntzig. Dbs que l'un
d'eux aurait pass6 la Vistule, Benningsen comptait
marcher sur lui. M-r Burrell а trouv6 nos troupes dans
le meilleur 6tat possible, de тёте l'arm6e autrichienne,
qu'il а pass6e еп venant de Vienne. N0tre Pologne et
celle de l'Autriche 6taient parfaitement tranquilles; mais
celle du roi de Prusse dans ипе insurrection g6n6rale.
Le g6n-l Benningsen se plaignait beaucoup qu'il п'у
avait pas тоуеп de rien faire avec le roi de Prusse
et les siens. Il faut esp6rer que l'on fera сотте Sils
п'у 6taient pas. Il п'у avait еи encore аисипе afaire,
de manibre que tous ces bruits ont 6t6 fanx, ainsi que
* ) В%роатно зд•ћсь ироиущенъ вудь, и свдуетъ читать 80.(Ю0.