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Londres, се 6 jaqv. 1807.
Је reviens du Bureau, ой j'ai vu lord Howick, etje
m'empresse de vous pr6venh.• que је renvoye Дюжа-
ROBb vendredi. Dans les communications que j'ai faites
aujourd'hui et sur lesquelles је dois revoir lord Howick
aprbs-demain, il т'а de lui-meme conseill6 Де m'entre-
tenir avec lord Grenville, et је lui ai 6crit pour cet
efTet. Nous пе demandons que des complaisanees de
leur part (outre l'afaire de l'emprunt); nous prions que
l'on nous donne, с. d. que l'on nous cbde, autant de
fusils que possible, et nous n'oublions jamais de reve-
nir l'ancienne phrase: „l'6troite et la sincbre amiti6
entre les deux pays“, et аи milieu de tout cela nous
leur donnons des raisons continuelles de se plaindre
de nous! Sur cette affaire de commerce entre les su-
jets russes et franeais, qui, се que j'avais cru moi-
тёте, avait enfm 6t6 arrang6e de la manibre la plus
convenable, с. d. les Anglais promettaient de пе
plus molester le commerce innocentde се genre, ајои-
tant cependant que роит се qui 6tait des munitions
de guerre ils пе pouvaient тёте s'imaginer que l'Em-
pereur, qv? faisait la guerre l'ennemi соттип, vou10t
permettre ses sujets de porter des armes cet еп-
nemi; sur ceci le b-n Budberg а remis m-r Stuart
ипе note fulminante (lord Howick voulait que ј'еп eusse
ипе copie), ой il est dit que l'Empereur пе veut pas
qu'on lui dicte des choses de се genre et ой оп se
r6fbre avec beaucoup de fracas la convention de
1801, tandis que cet acte п'а rien de соттип avec la
question pr6sente! Voilh la 2-de ои З-те fois que nous
Архивъ Князя Воронцова ХХИ.
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