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Londres, се 10 janvier 1807.
Dans l'eni que j'ai еие avec l-d Grenville et
que је n'ai ри obtenir que. jeudi; j'ai trouv6 que l'afaire
de l'emprunt tombait plus sur moi et 6tait plus crue
encore que је пе те l'6tais imagin6 рат les d6marches
qui avaient 6t6 faites vis-bvis de m-r Stuart. D'abord
ils trouvent que се qui а 6t6 prof6r6 snr се sujet de
chez nous est епсоте trop реи d6termin6; ainsi il est
impossible de rien d6cider sur des donn6es si реи d6-
taill6es. Ensuite lord Grenville т'а dit que le gouver-
nement п'у ferait sans doute аисипе opposition vexa-
toire et inutile, mais qu'il fallait voir premibrement
quels seraient les termes Вис lesquels nous pourrions
obtenir ип pareil emprunt dans la Cit6, et qu'ensuite
le gouvernement verrait si cet arrangement n'empi6tait
pas sur leurs propres op6rations. Је пе puis assez те
f6liciter de l'appui solide que j'ai trouv6 cette осса-
sion dans m-r Harman. Је n'ai pas envoy6 le courrier
hier, parce que је пе pouvais encore rien dire, mais
mardi је serai аи moins тёте de quel-
ques id6es g6n6rales. Le premier point, sans lequel il
п'у а роит des 6trangers rien esp6rer des posses-
seurs d'argent anglais, qui, еп le pretant leur propre
gouvernement, sont s0rs de toucher la Banque deux
fois par ап leurs que le gouvernement
anglais garantisse аи moins le payement exact des
int6rats. Ils пе paraissent pas 6tre dispos6s аисипе
garantie, mais је пе d6sespbre pas. J'avoue que jamais
је n'ai trouv6 lord Grenville plus froid et moins еп-
courageant que cette fois-ci. J'ai тёте d0 6crire deux