qu'on pr6tend qu'il se tiendra derribre l'arm6e. Peut-
6tre rbstera-t-il alors avec les gardes Riga.
Аи milieu de cet esprit sont venues de trbs-bonnes
nouvelles de la G60rgie. M-r Stuart marque que l'on
disait que Васои et Erivan avaient 6t6 pris par les
n6tres. Cela s'accorde assez avec ипе lettre du 1-т
septembre qu'il а reeue de Tiflis et qu'il cite. Elle
porte que nos afaires s'6taient am6lior6es de beaucoup
pendant l'6t6; que l'on venait de battre complbtement
ип corps persan, dans laquelle 4 r6giments persans
avaient 6t6 d6truits entibrement; чие le fls de ВаЬа-
khan avait 6t6 fait prisonnier, et que par-dessus tout
cela le g6n-l еп chef Goudowitch s'approchait avec ип
renfort d'infanterie trbs-consid6rable; que Joubert, que
Bonaparte avait envoy6 chez Baba-khan avec des рто-
positions de secours de sa part, n'avait pas 6t6 accueilli
et qu'il s'en 6tait retourn6. Le prince Ypsilanti est
arriv6 P6tersbourg et il а 6t6 теси avec beaucoup
de distinction. Stuart marque aussi que Pozzo-di-Borgo
devait 6tre envoy6 Vienne. Ici l-d Howick т'а еп-
соте lu еп toute confance ип article qui n'est pas
aussi agr6able que le reste. M-r Stuart, еп lui envoyant
la note sur les afaires de Turquie que j'ai d6ji сот-
muniqu6e iQi, dit qu'il у а еи sur се point des expli-
cations d6sagr6ables entre nous et l'Autriche, qni s'avise
de s'inqui6ter sur notre entr6e еп Moldavie et Vala-
chie. Elle craint que nous пе gardions ces provinces
et doit avoir demand6 de notre part ипе d6claration
que се n'est qu'une mesure de pr6cuation et ипе d6mon-
strabion. Еп тёте tems elle revient toujour' sur l'ancien-
пе histoire de Cattaro. Bonaparte doit lui avoir fait рат-
venir des propositions par ипе voye indirecte. M-r
Stuart parle encore de l'emprunt que l'on а chez nous