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Londres, ее 10 juillet 1806.
Mes moyens apprendre des nouvelles sont si реи
f6conds, que је пе saurais vous еп dire beaucoup,
monsieur le comte, et encore moins de fort int6ressan-
tes. Celle-ci du moins пе sera pas tout-Hait sans quel-
que m6rite: c'est que m-r le comte Strogonow, рет-
dant patience d'attendre quelque communication de Dow-
ning-street, а pris enfn le parti de demander аи che-
valier Vincent рат 6crit l'explication de ces venues et
al16es continue1les de courriers entre ici et la France,
dont оп 6tait averti рат les clameurs publiques, еп lui
rappelant la promesse formelle qu'il lui ft аи пот de
m-r Fox la semaine pass6e de l'informer de tout се
qu'on recevrait de France, Hier il а теси la r6ponse,
dans laquelle le chevalier Vincent lui dit que m-r Рох
est d6jh si avanc6 dans son r6tablissement que dans
deux ои trois jours il esp6rait pouvoir lui-meme сот-
muniquer аи comte Strogonow t0?tf се qui s'est раме:
enh•e la А•апсе et се pays depuis qu'il l'twait vu; et
que s'il n'6tait pas encore еп 6tat de le recevoir, il
prierait mylord Grenville de le fair6. Еп attendant оп
se garde bien de dire се que c'est que се qui s'est
passe' etc.
Је crains que cette nouvelle sera d6solante surtout
роит m-lle Jardine. Mais comment faire? Il пе d6pend
pas de moi de lui apprendre que m-r Fox est mort et
enterr6.