—6—
leurs vieux principes роит vouloir ипо pareille chose;
que les Addington et c-ie ont еи ипе leeon ип реи dure
pour la fameuse paix d'Amiens, qui restera bien im—
prim6e dans leur m6moire tant que ces imb6ciles exis—
fent, et que је savais еп outre que le lord-maire, dont le
langage et les sentiments 6taient роит ainsi dire les
memes que сеих du prince de Galles, malgr6 son ami—
ti6 avec Fox, dif6rait de се dernier sur la question de
la paix, telle qu'il se proposait de f6ire; que les sen—
timents de m-r Fox n'6taient que trop visibles par la
lettre qu'il avait 6crite directement аи prince Czarto-
ryski, ой il bl&me les alliances ofensives, et пе dit de
bien que froidement des alliances d6fensives, ajoutant
qu'il se tenait tmujours ses anciens principes bien соп-
nus; qu'b juger par lh il n'6tait que frop naturel de
croire que m-r Fox пе se souciait gubres de se d6-
sunir avec la Russie; mais qu'en тёте tems j'btais in-
timement persuad6 qu'il resterait toujours dans la mi-
norit6 аи conseil sur cette question, si l'on venait
еп d61ib6rer, et que тёте s'il concluait ипе paix sur
се principe, il lui arriverait immanquablement се qu'il
а 6prouv6 еп 1782.
M-r 0ubril т'а fait toute sorte de questions qu'il
secait impossible de mettre par 6crit toutes; il а 6cout6
avec attention tout се queje lui avais r6pondu. et ра-
raissait dtre dans ипе extr6me ind6cision. „Mais il faut
sauver l'Autriche“, те disait-il: „si је пе signe pas
quelque acte de pacifcation, les Frangais sont Vienne
dans 15 jours.“ lui ai-je r6pondu, „il faut
la sauver: mais si l'on пе peut pas le faire honorable-
ment роит nous, elle п'а qu'h se sauver сотте elle
peut; et ипо puissance de premier ordre. сотте оп
la considbre, n'est pas encore annihil6e еп perdant