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А Czarsko-S610, le 10 aoat 1813.

Votre excellence saura bien avant cette lettre la

reprise des hostilit6s, qui nous est аппопсбе рат le

courrier arriv6 il у а trois jours. L'espoir et la соп-

fiance sont unanimes dans toutes les lettres du quar-

tier-g6n6ral, et le succbs de cette сатрадпе est presque

certain. L'Empereur lui-m6me 6crit, се qu'on dit. que

c'est la premibre fois encore que nous avons ипе su-

p6riorit6 de 150,0 hommes еп сатрадпе •et que nous

pouvons compter аи total sur т. bayonnettes (је

suppose avec le Landwehr etc.). Dans реи de jours les

nouvelles commenceront devenir int6ressantes. Оп

6crit aussi que l'Autriche est celle qui est le plus scan-

dalis6e et indign6e des pr6tentions extravagantes de

Buonaparte. Pouvait-elle se tromper jusqu'ici? Mais

enfm elle est avec nous, et le prince Gortchakow т'а

dit que son frbre (assez bon g6n6ral) а march6 avec

son corps еп Boh@me роит se joindre аих Autrichiens

et ouvrir la сатрадпе ensemble. Се g6n6ral est parti-

culibrement соппи et aim6 еп Autriche.

La seule nouvelle int6ressante, que је puis donner

votre excellence, est la nouvelle demande du comte

Roumantzow роит avoir sa d6mission. Il parait qu'il

est епбп indign6 аи de toute mesure. Il disait

tout le monde, у compris le corps diplomatique, que

depuis trois mois il n'avait аисипе r6ponse de l'Empe-

reur. C'6tait la r6ponse qu'il а dite аи consul anglais,

diner chez le duc de Serra-Capriola, аи sujet de quel-

ques passeports que m-r Bayley lui а demand6s il у а

longtems. Епйп, ипе lettre de Sa Majest6 de 8 pages