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et reconnus par ипе commission, de 4.00) que la
couronne lui doit, et dont m-r G. а trouv6 toujonrs le
тоуеп et les pr6textes de пе point arr@ter le compte,
6tabli par la commission, dont le ministre actuel des
finances, alors intendant de l'arm6e, а fait partie. Tel
Juif que soit Peretz, c'est pourtant lui qui а rendu les
plus grands services аи pays l'ann6e 1812 et 1813 ев
а sauv6 nos arm6es de la d6faite et d'une тон afa-
тёе, еп faisant preuve d'un d6vouement rare. Роит
prix de cela, le pbre est encore еп prison, et le fils
vit dans la plus afreuse misbre. Оп pourrait citer
mille traits de cette тёте infamie. Le document d'une
si mis6rable administration des 6nances date de l'an-
пбе avant-dernibre, ой beaucoup de mesures propos6es
аи conseil d'6tat рат m-r G. ont 6t6 contest6es d'une
manibre victorieuse, et ой le d66cit de 8.(ЮЮ.О, dans
la partie des eaux-de-vie seulement, afait pr6sager le
n6ant d'un systbme insens6 et immoral, et la nullit6 des
calculs ministdriels. M-r G.. n'6ta.nt pas orateur et пе
pouvant d6fendre ni son budjet, ni ses plans, s'est ет-
port6 contre le contr0leur-g6n6ral kampenhausen,.. .et
еп faisant partir son directeur de la chancellerie Lay-
bach а fait adopter par l'Empereur le plan g6n6ral
des 6nances роит l'a.nn6e, malgr6 les dissensions •du
conseil et sans qu'il f0t rev@tu des formes accoutu-
m6es. Il parait cependant que l'impression еп est res-
t6e d6favorable dans l'opinion de l'Empereur, et qu'.il
пе l'a confirm6 que роит пе pas nrreter le cours des
afaires pendant son absence. L'ann6e dernibre le c-te
G. а pr6sent6 аи conseil ип projet stir les h6ritages
taxer аи proft de l'6tat« Entre beaucoup d'absurdit6s,
celle qui а r6volt6 tout le monde portait l'6tablisse-
ment d'un corps de satellites du ministre des fnances