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аи nombre d'environ 4.0, d6fray6s grandement, dont

l'afaire serait d'abord, et је pense avant qu'un d6funt

soit descendu dans la tombe, de se saisir de tous ses

biens, meubles et immeubles, d'en faire l'estimation et

еп disposer еп maftre, се que les 6normes ta-

xes propos6es par le ministre seraient acquitt6es. M-r

Mordvinow а exprim6 cette occasion ипе opinion

qu'on peut regarder сотте ип chef-d'oeuvre, et сот-

те il еп а donn6 ипе ои deux copies amis, m-r

G. s'en est plaint l'Empereur que par cette publica-

tion. il 6tait vilipend6 par la ville. Quoique S. М. а fait

eonnaitre m-r Mordwinow sous main qu'il fa.udrait

mettre ипе plus grande discr6tion dans les afaires

d'btat, et quelques m6nagements еп propos lors de la

discussion des matibres de cette importance; сереп-

dant оп s'est arrdt6 tout court l'id6e de ces tor-

rents des larmes des veuves et des orphelins, рто-

ches parents et amis que m-r Mordwinbw а si bien

pein•ts, et la vue de се fsc, barbare, scandaleux

et r6voltant, qu'il s'agissait•. d'introduire; et il а 6t6

prouv6 d'ailleurs que l'6tat пе gagnerait еп cela que

се -qu'il faut pour payer ип nouvpau corps nomhreux

d'employ6s et prot6g6s, dont l'ofwe et l'int6r6t seraient

de ruiner les familles.—Il у а plus de deux ans qu'd

•la suite d'une discussion аи conseil, le ministre des Н-

nances а propos6 de r6unir et r60rganiser les deux

banques, d'emprunt, ancienne, et la nouvelle de сот-

meree, projet qui а теси la sanction de l'Emp-r la

suite de l'avis du conseil. Оп а donc travai116 fort

longtems sur се projet, et l'on est parvenu сотро-

ser ип ensemble de reglement.s. Lorsqu'on est venu

le discuter dans le conseil des fnances, qui se tenait

chez le ministre, оп а vu avec 6tonnement qu'il se