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ches. Mais nous sommes dans le tems de l'adversit6, et
il • faut la supporter avec patience ев r6signation.
Је vous remercie, топ ami, de tous les d6tails que
vous m'avez communiqu6s sur la proposition qui vous
а 6t6 faite de P6tersbourg, par votre chbre lettre du
6 nov., qui m•est parvenue Naples le jour avant
notre d6part. Је trouve trbs-sages vos rdponses. Si оп
vous accorde, сотте је п•еп doute pas, les deux grd-
ces que vous demandez, de n'aller еп Russie qu'au
mois de тау et de пе nommer personne аи ministbre
de Russio еп Angleterre, j'espbre que l'on pourra сот-
biner le bien de vot.re pays et celui de la bonne cause
avec votre bien-dtre, qui m'est, топ adorable ami, si
fort coeur. Чие j•estime votre Souverain, et la [адоп
surtout оп пе peut pas plus noble qu'il а mise dans
les propositions qu'il vous а faites! И n'6tait pas pos-
sible qu'il пе conndt toute l'6tendue de votre m6rite,
vos lumibres, votre caractibre et votre incomparable
coeur. J'embrasse notre cher m-r Mackenzie; dites-lui
tout се que vous savez sur топ 6gard. Је lui souhaite
toute sorte de bonhenr et је lui baise la main trbs-
tendrement.
Le dige chev-r d'Italinsky est ici. La dernibre let-
tre que vous lui envoyates рат топ panal lui fut теп-
due imm6diatement. Il vous 6crira sans doute рас cette
occasion, car m-r le g6n6ral Acton а fait avertir la
l6gation russe de l'exp6diLion чие l'on allait faire.